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17 poèmes < 1 3 4 5 6 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): éphore éphores faire far farad faraud fard fardé faro faros fars fart farté féerie féeries fer fera féra ferai ferais ferait feras féras férié fériée fériées fériés férir ferra... Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n'est pas celui d'un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t'adore, ô ma frivole, Ma terrible passion! Avec la dévotion Du prêtre pour son idole. Le désert et la forêt Embaument tes tresses rudes, Ta tête a les attitudes De l'énigme et du secret. Sur ta chair le parfum rôde Comme autour d'un encensoir; Tu charmes comme le soir, Nymphe ténébreuse et chaude. Ah! les philtres les plus forts Ne valent pas ta paresse, Et tu connais la caresse Qui fait revivre les morts! Poésie la forêt d'orient. Tes hanches sont amoureuses De ton dos et de tes seins, Et tu ravis les coussins Par tes poses langoureuses. Quelquefois, pour apaiser Ta rage mystérieuse, Tu prodigues, sérieuse, La morsure et le baiser; Tu me déchires, ma brune, Avec un rire moqueur, Et puis tu mets sur mon coeur Ton oeil doux comme la lune.
Au lendemain de cet incendie, des dizaines de pompiers sont encore postés dans la forêt de Rennes, pour surveiller mais aussi pour continuer à " noyer la végétation ". De son côté, l'Office National des forêts (ONF) dresse un premier bilan. L'incendie qui a pris dans la forêt de Rennes, ce lundi 16 mai 2022, en bordure de l'A84, a détruit 25 hectares de végétation. " On a quasiment tous les ans des petits feux, de l'ordre d'un hectare de végétation. Mais cette fois, c'est vraiment très conséquent. C'est l'incendie le plus important qu'on ait connu depuis 2003 "indique Isabelle Bertrand, directrice régionale de l'ONF en Bretagne. Poésie la foret 95. Les arbres qui ont brûlé sont essentiellement " de jeunes arbres, âgés de moins de 10 ans mais quelques pins et feuillus plus âgés ont également été touchés". Les pompiers ont fait un travail formidable pour circonscrire ce feu, et éviter qu'il se propage davantage dans le massif L'ONF salue le travail des pompiers. " C'est un feu qui se loge dans le sol fait de tourbe, et qui couve pendant des heures.
La brume parfumée aux odeurs printanières Annonçait l'arrivée d'un splendide printemps; L'érable s'écoulait dans les érablières Sucrant les feuillages puis l'espace et le temps. Ô! Je sens la forêt. Faune estivale ainsi que les oiseaux moqueurs Orchestraient les sous-bois de leurs chants tapageurs; Cèdres et sapins verts les écoutaient souvent À l'aurore du jour et à l'aube du vent. Ô!! J'entends la forêt. La poésie de la forêt au printemps | Parc national des Pyrénées. Vert, brun, jaune et rouge; les coloris d'automne S'effeuillaient devant moi sous mes pieds de marcheur; Le chêne et le bouleau, de racine autochtone, S'échangeaient leurs feuilles au vent triste et charmeur. Ô!!! Je vois la forêt. Flore hivernale ainsi que les buses nocturnes Recouvraient leur ardeur de neiges taciturnes; Pins et bois de frênes les protégeaient du froid Des bourrasques d'hiver et des vents du noroît. Ô!!!! J'aime la forêt. Une brume enfumée à l'odeur meurtrière Annonce la fin des boisés amazoniens; Enflammant les forêts et beautés de la terre, L'homme se brule dans les feux lucifériens.
La voix de la nature personnifiée fait écho aux sentiments du poète.
le profond printemps, comme cela rend fou! L'audace des moineaux sous les feuilles obscures, Les papillons, l'abeille en quête, les piqûres, Les soupirs, ressemblaient à de vagues essais, Et j'avais peur, sentant que je m'enhardissais. Il est certain que c'est une action étrange D'errer dans l'ombre au point de cesser d'être un ange, Et que l'herbe était douce, et qu'il est fabuleux D'oser presser le bras d'une femme aux yeux bleus. Nous nous sentions glisser vaguement sur la pente De l'idylle où l'amour traître et divin serpente, Et qui mène, à travers on ne sait quel jardin, Souvent à l'enfer, mais en passant par l'éden. Le printemps laisse faire, il permet, rien ne bouge. La forêt – Louis-Honoré Fréchette | Poetica Mundi. Nous marchions, elle était rose, et devenait rouge, Et je ne savais rien, tremblant de mon succès, Sinon qu'elle pensait à ce que je pensais. Pâle, je prononçais des noms, Béatrix, Dante; Sa guimpe s'entrouvrait, et ma prunelle ardente Brillait, car l'amoureux contient un curieux. Viens! dis-je... - Et pourquoi pas, ô bois mystérieux?