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______ À découvrir dès 7 ans « Dans la classe, c'est l'horreur. En un coup d'œil, je comprends que ce ne sera pas mieux que dans l'autre école. Il y a les mêmes garçons avec les mêmes coiffures à la mode et les mêmes filles avec les mêmes trucs à paillettes. C'est pas les mêmes mais c'est les mêmes.
Leïli et Nils sont dans la même classe. Leïli aime les jeux d'aventure et elle rêve d'aller chasser des oiseaux dans le ciel. Sa mère l'habille pratique: pas de robes, pas de ballerines, mais tous les ans, le droit à de nouvelles chaussures de rando montantes. Nils, quant à lui, n'aime que les petites choses: Les poussières petites. Elle pas princesse lui pas héros translation. Les miettes petites. Les histoires petites. Son père se fait du souci pour lui: il est maigre comme un bout de fil de fer, il est coiffé comme une petite fille. Il s'interroge: "Mon amour qu'est-ce qu'on va en faire…? " A l'occasion... Lire la suite
Le jury a fait une mention spéciale à Stephanie Valloatto pour son film, « Caricaturistes, fantassins de la démocratie ». Le grand vainqueur du prix Sergio Vieira de Melo, meilleur film du festival est allé à « Democrats » de Camilla Nelson. Le jury de ce 11e festival du ciné Droit libre a recommandé au comité d'organisation la mise en place d'un comité de sélection des films « pour faire en sorte qu'on voit des films d'à peu près le même niveau afin de comparer des éléments comparables ». Tiga Cheick Sawadogo TIC et espoirs de progrès au Burkina: Zakaria Tiemtoré (... ) Médias: « Si rien n'est fait, l'AIB sera une victime des (... ) Acheminements postaux: Relever le défi de la qualité et (... ) Fasozine fait peau neuve sur le Net! Le vice-président exécutif international de France (... ) Soutenance de Mémoire: Sidwaya dans le contexte du (... ) Média: Le RAJIT forme les journalistes en investigation Développement des technologies de l'information et de la (... ) Telecel Faso: Me Françoise Toé se fait contester Telecel Faso: On se noie dans votre flotte Le Reporter: Un an déjà!
Actualités:: Ciné Droit Libre: Une fin en apothéose avec « Democrats » de Camilla (... ) Exit l'édition 2015 du festival Ciné Droit libre. Dans la soirée du 4 juillet à Ouagadougou, le jury a dévoilé le palmarès des prix de la 11ème édition qui avait pour thème, « quand la jeunesse se met debout…! ». Ce furent huit jours de fête du cinéma engagé, militant, pour défendre les causes justes de liberté et de droits humains. Huit jours également de débats forts animés. Quand la jeunesse se met débout, elle débat sur ses responsabilités, ses rêves, ses combats à mener pour que nos pays soient bien gouvernés et mieux dirigés. Pour Luc Damiba, président de l'association Sem Films qui organise le festival, la 11e édition a été un succès à tout égard. « Cette édition a été un exécutoire pour une jeunesse impatiente, un espace d'expression et de promotion de la liberté d'expression par le film et la musique. La parole a été doublement libérée. Le public a trouvé un espace pour voir des films, débattre et rencontrer des réalisateurs engagés; et s'engager eux-mêmes.
L'injustice qui frappe les populations locales révolte Massoud et le rend réceptif aux revendications radicales des djihadistes. Lorsqu'un ami, à lui, est abattu pendant un couvre-feu, il bascule dans le camp des islamistes radicaux. Emmanuel Mbadé, le réalisateur du film, présent à Abidjan pour le Ciné droit libre 2021, a voulu via ce clichet mettre le focus sur l'État de droit. AP/ls/APA
Ciné droit libre 2021: Les enfants sont à l'honneur Africa-Press – Burkina Faso. La cérémonie d'ouverture de la seizième édition du festival Ciné droit libre a eu lieu le samedi 4 décembre 2021 à l'Institut français Georges Méliès de Ouagadougou. Placé sous le thème: « Quels avenirs pour nos enfants? », la seizième édition du festival est très riche en couleurs. Au menu, de la comédie musicale, des soirées spéciales avec les cinéastes Boubacar Diallo et Thierry Michel, des projections de films, un don de vivres en soutien aux déplacés internes, des plateaux télés, des débats, des dialogues démocratiques, des forums etc. Selon le coordinateur du festival, Abdoulaye Diallo, le choix porté sur le thème: « Quels avenirs pour nos enfants? », correspond très bien aux réalités que vivent les Burkinabè en ce moment. « Il faut comprendre que nous vivons un présent difficile. Comme l'a dit Dr Cheikh Tidiane Gadio », a-t-il confié. M. Diallo a affirmé qu'il y a une sauce qui est en train d'être préparée et l'odeur de celle-ci augure d'une sauce indigeste.
Ce festival qui se tient du 17 au 20 novembre 2021, à Abidjan, vise à promouvoir les droits humains à travers le cinéma et à titiller à travers des projections de films, suivis de débats, les consciences pour l'avènement d'un monde plus juste et plus droit. La plateforme Ciné droit libre a été créé en 2005 au Burkina Faso. En Côte d'Ivoire, l'événement est organisé depuis 2008 par l'Association ciné connexion, en étroite collaboration avec l'Institut Goethe, un partenaire historique. Placé sous le parrainage de Mme Yvette Soraya Daoud, ambassadeur du royaume des Pays-Bas en Côte d'Ivoire, la 13e édition de ce festival de films sur les droits humains et la liberté d'expression met le focus sur la protection de l'enfant. Depuis 2012, la Côte d'Ivoire a mis en place une politique nationale de protection de l'enfant avec un numéro vert visant à dénoncer les actes de violations des droits de l'enfant. Cette ligne reçoit plus de 3. 000 appels par an dénonçant les violations des droits de l'enfant.
Luc Damiba (à gauche), Abdoulaye Diallo (au milieu) et Mouniratou Lougué (à l'extrême droite) A la question de savoir pourquoi les organisateurs ont préféré la démocratie par rapport aux défis sécuritaires, qui constituent la réalité du Burkina Faso actuellement, Abdoulaye Diallo Menez a affirmé que « la question de la sécurité est déjà inclue dans la démocratie ». Le président de Semfilms production, Luc Damiba, pour sa part, dira que le problème de l'insécurité a été déjà soulevé à l'édition de 2016. « Le choix du présent thème ne se limite pas seulement au Burkina Faso. Si la démocratie était bien appliquée, nous ne vivrions pas cette insécurité qu'on vit de nos jours », a-t-il ajouté. La démocratie, une réponse de ce que veut le peuple? Le questionnement sur la démocratie est déjà soulevé sur le visuel de cette édition. On voit une femme, sourire aux lèvres, en train de voter pendant qu'une main, à l'aide d'un briquet, brûle son scrutin. « Est-ce que la démocratie est la réponse à ce que nous voulons?
», s'interroge Luc Damiba. Et Fatma Bancé, l'administratrice de Semfilms, de répondre que « chacun peut faire une interprétation » à partir de ce qu'il voit sur cette affiche. Pour sa part, cette main qui brûle le bulletin de vote de la jeune dame peut être celui qui est élu, mais une fois au pouvoir, dirige contrairement aux aspirations de ceux qui ont voté pour lui. Comme à l'accoutumée, l'édition du festival de cette année aura pour menu films, débats, musique, humour, masterclass, espace enfants, concours débat et village du festival. Fatma Bancé, l'administratrice de Semfilms Autre symbole de la démocratie, ce sont les humoristes ivoiriens Zongo et Tao qui sont les invités de cette édition. Ils sont toujours ensemble malgré leurs points de vue différents. Compte tenu des travaux de réhabilitation de la Circulaire (avenue des Tansoba), le village du festival sera délocalisé du 11 au 14 décembre sur le terrain omnisports du lycée Newton Descartes, à côté de l'échangeur de l'Est. A en croire les organisateurs, la 15e édition est placée sous la présidence de Michel Kafando, ancien président de la Transition du Burkina Faso et sous le parrainage de Théophile Obenga, l'un des disciples de Cheick Anta Diop.